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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Sciences sociales'
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Le droit saisi par la photographie / Bernard Edelman
Titre : Le droit saisi par la photographie : Eléments pour une théorie marxiste du droit Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Edelman, Auteur ; Paul Q. Hirst, Postfacier, auteur du colophon, etc. Editeur : Paris : Christian Bourgois éditeur Année de publication : 1980 Importance : 1 vol. (224 p.) Format : 13,2 x 20,1 cm Accompagnement : ISBN : 2-267-00236-1 Note générale : Littérature ; Sciences humaines. Dans cet ouvrage initialement paru en 1973, le philosophe et juriste français Bernard Edelman (1938-1920) interroge les rapports qui existent entre l’image photographique et la notion de propriété, ainsi que les enjeux juridiques qui en naissent. Avec le développement de la photographie (et du cinéma), les repères juridiques se sont vus bousculer, faisant naître un nombre croissant de questions sur la notion de propriété et plus largement sur le droit : Qui peut revendiquer des droits sur la photographie d’un lieu ou d’une personne ? ; Qu’est-ce qu’un sujet de droit ? ; Un sujet de droit revêt-il une valeur marchande ? ; … Ce sont autant de questions auxquelles tente de répondre Edelman en s’appuyant sur de la documentation historique, juridique et économique. L'ouvrage bénéficie également d'une postface signée par le sociologue anglais Paul Quentin Hirst (1946-2003). Langues : Français Mots-clés : Christian Bourgeois éditeur Bernard Edelman Théorie Littérature Sciences humaines Sciences sociales Economie Droit Droit civil Sujet de droit Idéologie juridique Photographie Histoire de la photographie Propriété Propriété littéraire et artistique Marxisme Théorie marxiste Karl Marx Résumé : 4ème de couverture : "En 1842, d’une simple loi sur le vol du bois, que les gros propriétaires fonciers de Rhénanie voulaient imposer aux paysans pauvres, qui ramassaient des branches mortes pour leurs feux, Karl Marx tirait un fulgurant pamphlet sur le droit et la politique. A sa manière, instruit par Marx, Edelman suit la même voie. Il part d’un détail infime : une photographie, et en tire des « vues » inattendues sur le droit.
Votre visage est à vous ? Supposez qu’on le photographie. A qui appartient l’image de votre visage ? de votre corps ? de votre maison ? de votre jardin ? et … de votre vie ?
Simple question de droit. Enregistrée dans mille procès, dans cent arrêts de la Cour de cassation. Car figurez-vous, des images se vendent : les photos se vendent, les films se vendent. Mais pour qu’ils se vendent, il faut définir qui en est le propriétaire.
Le droit bourgeois a été, au XIXe siècle, « saisi », « surpris » par la photographie et le cinéma. Leur réalité économique (ex. : la production cinématographique capitaliste) lui a imposé de résoudre des problèmes de droit complètement inattendus. Il fallait une solution juridique. Le droit a produit la solution. Comment ? Par un travail théorique abstrait. En faisant jouer tout un système de catégories qui constituent l’idéologie du droit : personne, chose, propriété de soi, propriété de la chose et, au somment, le sujet de droit. Edelman produit tous les documents : historiques, économiques et juridiques. Un incroyable dossier."Note de contenu : Préface (p.9)
I. LA PRATIQUE THEORIQUE DU DROIT (p.13)
1. Les raisons d’une absence (p.15)
2. L’acte de naissance de l’idéologie juridique (p.25)
II. LA PRODUCTION JURIDIQUE DU REEL (p.37)
3. La forme marchande de la création (p.39)
4. La forme marchande du sujet (p. 85)
III. ELEMENTS POUR UNE THEORIE MARXISTE DU DROIT (p.115)
5. Thèse I. Le droit fixe et assure la réalisation, comme donné naturel, de la sphère de la circulation (p.121)
6. Thèse II. Le droit, en assurant et en fixant comme donné naturel la sphère de la circulation, rend possible la production (p.137)
Conclusion : Droit et lutte idéologique (p.143)
ANNEXE (p.151)
POSTFACE, DE PAUL Q. HIRST (p.191)Le droit saisi par la photographie : Eléments pour une théorie marxiste du droit [texte imprimé] / Bernard Edelman, Auteur ; Paul Q. Hirst, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Paris : Christian Bourgois éditeur, 1980 . - 1 vol. (224 p.) ; 13,2 x 20,1 cm + ISBN : 2-267-00236-1.
Littérature ; Sciences humaines. Dans cet ouvrage initialement paru en 1973, le philosophe et juriste français Bernard Edelman (1938-1920) interroge les rapports qui existent entre l’image photographique et la notion de propriété, ainsi que les enjeux juridiques qui en naissent. Avec le développement de la photographie (et du cinéma), les repères juridiques se sont vus bousculer, faisant naître un nombre croissant de questions sur la notion de propriété et plus largement sur le droit : Qui peut revendiquer des droits sur la photographie d’un lieu ou d’une personne ? ; Qu’est-ce qu’un sujet de droit ? ; Un sujet de droit revêt-il une valeur marchande ? ; … Ce sont autant de questions auxquelles tente de répondre Edelman en s’appuyant sur de la documentation historique, juridique et économique. L'ouvrage bénéficie également d'une postface signée par le sociologue anglais Paul Quentin Hirst (1946-2003).
Langues : Français
Mots-clés : Christian Bourgeois éditeur Bernard Edelman Théorie Littérature Sciences humaines Sciences sociales Economie Droit Droit civil Sujet de droit Idéologie juridique Photographie Histoire de la photographie Propriété Propriété littéraire et artistique Marxisme Théorie marxiste Karl Marx Résumé : 4ème de couverture : "En 1842, d’une simple loi sur le vol du bois, que les gros propriétaires fonciers de Rhénanie voulaient imposer aux paysans pauvres, qui ramassaient des branches mortes pour leurs feux, Karl Marx tirait un fulgurant pamphlet sur le droit et la politique. A sa manière, instruit par Marx, Edelman suit la même voie. Il part d’un détail infime : une photographie, et en tire des « vues » inattendues sur le droit.
Votre visage est à vous ? Supposez qu’on le photographie. A qui appartient l’image de votre visage ? de votre corps ? de votre maison ? de votre jardin ? et … de votre vie ?
Simple question de droit. Enregistrée dans mille procès, dans cent arrêts de la Cour de cassation. Car figurez-vous, des images se vendent : les photos se vendent, les films se vendent. Mais pour qu’ils se vendent, il faut définir qui en est le propriétaire.
Le droit bourgeois a été, au XIXe siècle, « saisi », « surpris » par la photographie et le cinéma. Leur réalité économique (ex. : la production cinématographique capitaliste) lui a imposé de résoudre des problèmes de droit complètement inattendus. Il fallait une solution juridique. Le droit a produit la solution. Comment ? Par un travail théorique abstrait. En faisant jouer tout un système de catégories qui constituent l’idéologie du droit : personne, chose, propriété de soi, propriété de la chose et, au somment, le sujet de droit. Edelman produit tous les documents : historiques, économiques et juridiques. Un incroyable dossier."Note de contenu : Préface (p.9)
I. LA PRATIQUE THEORIQUE DU DROIT (p.13)
1. Les raisons d’une absence (p.15)
2. L’acte de naissance de l’idéologie juridique (p.25)
II. LA PRODUCTION JURIDIQUE DU REEL (p.37)
3. La forme marchande de la création (p.39)
4. La forme marchande du sujet (p. 85)
III. ELEMENTS POUR UNE THEORIE MARXISTE DU DROIT (p.115)
5. Thèse I. Le droit fixe et assure la réalisation, comme donné naturel, de la sphère de la circulation (p.121)
6. Thèse II. Le droit, en assurant et en fixant comme donné naturel la sphère de la circulation, rend possible la production (p.137)
Conclusion : Droit et lutte idéologique (p.143)
ANNEXE (p.151)
POSTFACE, DE PAUL Q. HIRST (p.191)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité TH02091 Dépôt CH - EDE - Droit Photo Livre Centre de documentation du Trinkhall Museum 20 - Artistes Consultation sur place
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Photographie et société / Gisèle Freund
Titre : Photographie et société Type de document : texte imprimé Auteurs : Gisèle Freund, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 1974 Collection : Points - Histoire Importance : 1 vol. (224 p.) Présentation : Ill. en noir et blanc Format : 11,6 x 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-000660-6 Note générale : Littérature ; Histoire de la photographie. Cet ouvrage paru initialement en 1974 présente une analyse historique de l’histoire de la photographie par la sociologue et photographe Gisèle Freund (1908-2000). Elle y narre l’évolution de l’utilisation de la photographie depuis son invention jusqu’aux années 70, ainsi que les enjeux sociétaux qui en émanent à chaque époque. Langues : Français Mots-clés : Seuil Gisèle Freund Littérature Sciences sociales Sociologie Histoire de la photographie Photographie moderne Vocabulaire photographique Technique photographique Art Peinture Histoire de l’art Monarchie de Juillet Second Empire Photographie de presse Photographie de guerre Reporter de guerre Photojournalisme Presse à scandales Paparazzi Presse Mass media Politique Propagande Allemagne nazie Photographe Résumé : 4ème de couverture : "La photographie fait désormais partie de la vie quotidienne. Elle s’est tellement incorporée aux habitudes qu’on ne la voit plus à force de la voir. Elle préside à tous les événements, privés ou publics. On lui prête un caractère documentaire, au point de la faire apparaître comme le procédé de reproduction le plus fidèle, le plus impartial de la vie sociale. En fait, la photographie, qui peut être instrument de connaissance et œuvre d’art, n’est souvent qu’un instrument de communication susceptible de tous les avatars et de toutes les manipulations. C’est pourquoi l’histoire de la photographie ne peut être seulement l’histoire d’une technique : elle est inséparable d’une histoire sociale et politique." Note de contenu : Les relations entre les formes artistiques et la société. (p.5)
Précurseurs de la photographie. (p.11)
La photographie sous la monarchie de Juillet (1830-1848). (p.21)
Les premiers photographes. (p.35)
La photographie sous le Second Empire (1851-1870). (p.57)
Les mouvements et l’attitude des artistes de l’époque à l’égard de la photographie. (p.71)
L’expansion et la déchéance du métier de photographe (1870-1914). (p.83)
La photographie, moyen de reproduction de l’œuvre d’art. (p.93)
La photographie de presse. (p.101)
Naissance du photojournalisme en Allemagne. (p.107)
Mass media magazines aux Etats-Unis. (p.133)
La photographie, instrument politique. (p.153)
La photographie et la loi. (p.171)
La presse à scandales. (p.177)
La photographie, expression artistique. (p.187)
Les photomateurs. (p.195)
Conclusion. (p.205)
Notes. (p.210)
Illustrations. (p.217)
Bibliographie. (p.218)Photographie et société [texte imprimé] / Gisèle Freund, Auteur . - Paris : Seuil, 1974 . - 1 vol. (224 p.) : Ill. en noir et blanc ; 11,6 x 18 cm. - (Points - Histoire) .
ISBN : 978-2-02-000660-6
Littérature ; Histoire de la photographie. Cet ouvrage paru initialement en 1974 présente une analyse historique de l’histoire de la photographie par la sociologue et photographe Gisèle Freund (1908-2000). Elle y narre l’évolution de l’utilisation de la photographie depuis son invention jusqu’aux années 70, ainsi que les enjeux sociétaux qui en émanent à chaque époque.
Langues : Français
Mots-clés : Seuil Gisèle Freund Littérature Sciences sociales Sociologie Histoire de la photographie Photographie moderne Vocabulaire photographique Technique photographique Art Peinture Histoire de l’art Monarchie de Juillet Second Empire Photographie de presse Photographie de guerre Reporter de guerre Photojournalisme Presse à scandales Paparazzi Presse Mass media Politique Propagande Allemagne nazie Photographe Résumé : 4ème de couverture : "La photographie fait désormais partie de la vie quotidienne. Elle s’est tellement incorporée aux habitudes qu’on ne la voit plus à force de la voir. Elle préside à tous les événements, privés ou publics. On lui prête un caractère documentaire, au point de la faire apparaître comme le procédé de reproduction le plus fidèle, le plus impartial de la vie sociale. En fait, la photographie, qui peut être instrument de connaissance et œuvre d’art, n’est souvent qu’un instrument de communication susceptible de tous les avatars et de toutes les manipulations. C’est pourquoi l’histoire de la photographie ne peut être seulement l’histoire d’une technique : elle est inséparable d’une histoire sociale et politique." Note de contenu : Les relations entre les formes artistiques et la société. (p.5)
Précurseurs de la photographie. (p.11)
La photographie sous la monarchie de Juillet (1830-1848). (p.21)
Les premiers photographes. (p.35)
La photographie sous le Second Empire (1851-1870). (p.57)
Les mouvements et l’attitude des artistes de l’époque à l’égard de la photographie. (p.71)
L’expansion et la déchéance du métier de photographe (1870-1914). (p.83)
La photographie, moyen de reproduction de l’œuvre d’art. (p.93)
La photographie de presse. (p.101)
Naissance du photojournalisme en Allemagne. (p.107)
Mass media magazines aux Etats-Unis. (p.133)
La photographie, instrument politique. (p.153)
La photographie et la loi. (p.171)
La presse à scandales. (p.177)
La photographie, expression artistique. (p.187)
Les photomateurs. (p.195)
Conclusion. (p.205)
Notes. (p.210)
Illustrations. (p.217)
Bibliographie. (p.218)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité TH02104 Dépôt CH - FRE - Photo Société Livre Centre de documentation du Trinkhall Museum 20 - Artistes Consultation sur place
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