Titre : | Les révoltés du Merveilleux | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Charles Soubeyran, Auteur ; Robert Doisneau (1912-1994), Photographe ; Gilles Ehrmann (1928-2005), Photographe | Editeur : | Bazas : Le temps qu'il fait | Année de publication : | 2004 | Importance : | 1 vol. (103 p.) | Présentation : | Ill. en coul., couv. ill. en coul. | Format : | 21 x 25 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-86853-417-0 | Langues : | Français | Catégories : | Architecture -- France Architecture anonyme Environnement (art) Utopies architecturales
| Mots-clés : | photographie joseph marmin facteur cheval gaston chaissac raymond isidore maison picassiette frederic séron villa palagonia jardin de bomarzo bois sacré de bomarzo hyppolyte massé louis malaquier abbé fourré abbé fouéré Adolphe Julien Fouéré la villa marie-paul jean savary maurice duval marie espalieu martial besse J. Pellicia raymond fasquelle le rocher camille renault hotel terminus | Index. décimale : | 5000 | Résumé : | Couverture : "Ceux que Doisneau nomme les « bâtisseurs chimériques », Ehrmann les « inspirés », sont baptisés les « révoltés du Merveilleux » par Charles Soubeyran – qui a repéré une vingtaine de ces excentriques de l’art dans l’œuvre des deux photographes (qui se sont du reste rencontrés sur cinq d’entre eux, le facteur Cheval et Gaston Chaissac notamment). Ces irréguliers, « insoucieux du qu’en dira-t-on, choisissant leurs matériaux sans référence aux canons esthétiques de leur époque, qui ont construit leurs œuvres en totale liberté », ces artistes loin de toute correction esthétique, ces marginaux individualistes, représentants inconscients d’un véritable art populaire, ont naturellement passionné Ehrmann et Doisneau qui ont, par la photographie, donné une postérité à des originaux dont les œuvres déroutantes, faites de singularité et d’étrangeté, sont fatalement vouées à disparaître. Le mérite de Charles Soubeyran est, non seulement d’avoir réuni ces archives croisées, mais encore de les présenter assorties de divers documents d’époque qui contribuent à donner sens à des pratiques créatrices qui sont le plus souvent considérées avec indifférence sinon dédain." |
Les révoltés du Merveilleux [texte imprimé] / Charles Soubeyran, Auteur ; Robert Doisneau (1912-1994), Photographe ; Gilles Ehrmann (1928-2005), Photographe . - Bazas : Le temps qu'il fait, 2004 . - 1 vol. (103 p.) : Ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 x 25 cm. ISBN : 978-2-86853-417-0 Langues : Français Catégories : | Architecture -- France Architecture anonyme Environnement (art) Utopies architecturales
| Mots-clés : | photographie joseph marmin facteur cheval gaston chaissac raymond isidore maison picassiette frederic séron villa palagonia jardin de bomarzo bois sacré de bomarzo hyppolyte massé louis malaquier abbé fourré abbé fouéré Adolphe Julien Fouéré la villa marie-paul jean savary maurice duval marie espalieu martial besse J. Pellicia raymond fasquelle le rocher camille renault hotel terminus | Index. décimale : | 5000 | Résumé : | Couverture : "Ceux que Doisneau nomme les « bâtisseurs chimériques », Ehrmann les « inspirés », sont baptisés les « révoltés du Merveilleux » par Charles Soubeyran – qui a repéré une vingtaine de ces excentriques de l’art dans l’œuvre des deux photographes (qui se sont du reste rencontrés sur cinq d’entre eux, le facteur Cheval et Gaston Chaissac notamment). Ces irréguliers, « insoucieux du qu’en dira-t-on, choisissant leurs matériaux sans référence aux canons esthétiques de leur époque, qui ont construit leurs œuvres en totale liberté », ces artistes loin de toute correction esthétique, ces marginaux individualistes, représentants inconscients d’un véritable art populaire, ont naturellement passionné Ehrmann et Doisneau qui ont, par la photographie, donné une postérité à des originaux dont les œuvres déroutantes, faites de singularité et d’étrangeté, sont fatalement vouées à disparaître. Le mérite de Charles Soubeyran est, non seulement d’avoir réuni ces archives croisées, mais encore de les présenter assorties de divers documents d’époque qui contribuent à donner sens à des pratiques créatrices qui sont le plus souvent considérées avec indifférence sinon dédain." |
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